Impression plaquette d'entreprise

Lorsque votre demande sera ainsi précisée auprès des services de Devisprogratuit, vous recevrez sous peu de jours 3 offres de prestataires à proximité de votre entreprise.

Dans tous les cas, pour la réalisation de vos projets d’impression de supports publicitaires ou institutionnels, privilégiez un spécialiste qui s'emploiera à s'ajuster toujours au mieux à vos besoins.

La création d'une plaquette ne s'improvise pas

Institutionnelle ou publicitaire, la plaquette est faite pour valoriser une activité, des produits, des services, vos points forts ou annoncer un événement.
La plaquette est souvent le premier contact qu’ont les prospects avec une entreprise et c’est la raison pour laquelle il est primordial de ne pas la négliger. Tout doit être fait pour retenir l’attention des clients ou futurs clients : les formes, les couleurs, les accroches…
Dans le cas d’une plaquette à destination commerciale, votre document est-il destiné à appuyer l'argumentaire de votre force de vente? A être distribué dans un salon? Ou encore à être adressé, par courrier, à des vagues de prospects? Autant de questions qui conditionneront le look et, surtout, le contenu de votre plaquette.
Songez que ce document devra perdurer durant au moins deux ans : certains produits risquent alors d'être obsolètes. Concentrez-vous sur les informations pérennes.

Plusieurs aspects sont donc déterminants : le logo, le contenu et les illustrations, la couverture

Le logo de l’entreprise doit permettre de reconnaître immédiatement la marque ou l’entreprise : c’est un signe d’identification. Sa forme, sa taille, ses couleurs doivent être étudiées de près. Le logo doit figurer sur la couverture de la plaquette mais aussi sur chacun des feuillets qui la composent.

Le contenude la plaquette doit synthétiser en quelques paragraphes les informations principales concernant l’entreprise, le produit, l’activité ou le service concerné, et insister sur des informations percutantes. Ce texte doit être bref et clair car le lecteur aime parcourir rapidement la plaquette.

Les illustrations (les images et photos) donnent du relief et de l’originalité à la plaquette, et la rendent plus attractive et peut être génératrice de ventes. C’est aussi un moyen de mettre en avant une activité, un service ou un produit.

La couverture doit donner envie au lecteur d’ouvrir la plaquette et de la lire (en ayant glissé à l’intérieur la documentation et les propositions qui leur sont dédiées). Les photos et images retiennent plus l’attention que le texte, surtout sur la couverture. Il faut donc mettre en avant le produit ou le service en images avec quelques phrases simples et bien choisies.

Le choix du type d’impression : La plaquette standard a un bon rapport qualité/prix ; elle est réalisée sur un papier couché lisse (brillant) ou mat, avec un très grand choix de grammages et de formats possibles. Si votre budget est plus élevé, vous avez la possibilité de réaliser une plaquette de grande qualité sur du papier vergé, transparent, chrome, argent ou encore or…. Ou encore sur du papier recyclé ou ecoresponsable (très tendance). Pour une plaquette haut de gamme, vous avez le choix de la produire sur papier pelliculé : une fine couche de film plastique (pelliculage) est placée sur toute la surface de la plaquette ou bien, uniquement sur certaines zones que vous souhaitez mettre en valeur.

A titre d’exemple, une plaquette avec façonnage d'onglet en papier 250gr satiné pelliculé mat avec vernis selectif en quadri pour 1000 exemplaires, 2500 euros HT.

Les différentes étapes de la fabrication d'un support imprimé

La préparation d'un travail destiné à l'impression passe par les phases de réflexion sur le produit, l'écriture de son contenu, le rassemblement des matériaux illustratifs (photographies, dessins, graphes, etc.), puis sur l'ébauche de ce que devrait être le produit fini : l’épreuve ou BAT.

La fabrication d'un support d’impression rassemble des savoir-faire et utilise des matériaux différents et complémentaires. La maquette, le graphisme, la composition, la mise en page, la photogravure, l’épreuve : En règle générale, ces savoir-faire sont regroupés sous une seule appellation générique : la chaîne graphique.

Pour une qualité d’impression optimale, vérifiez toujours que les spécifications techniques soient en amont respectées : format de fichier (JPG haute résolution, TIFF, PDF), colorimétrie (mode CMJN/8bits), résolution (300 DPI).

Nous vous conseillons fortement d’utiliser un logiciel de création graphique pour réaliser vos fichiers. Il existe plusieurs solutions gratuites ou payantes : suite ADOBE (Photoshop, Illustrator, Indesign …), Coreldraw, Gimp, qui elles seules vous permettront de répondre complètement aux spécifications techniques de votre imprimeur.

Le document numérique achevé, lorsque la page complète est assemblée, les images et les textes mis en place et les couleurs ajustées, on va produire l'épreuve contractuelle (Iris, Cromalin Digital) qui anticipera l'aspect définitif et la conformité du travail (l'étalon en quelque sorte). Si vous êtes satisfait de cette épreuve, elle fait l’objet d’un « bon à tirer » (« BAT »), qui dûment daté et signé sera utilisé en cas de litige.
L’épreuve servira de référence à l'imprimeur qui devra en respecter l'aspect (la typographie, l'emplacement des illustrations, fidélité des couleurs) tout au long du tirage.

Lorsque l'imprimerie reçoit les fichiers numériques de toutes les pages qui constituent l'ensemble de la commande, son rôle consiste à en prévoir l'imposition, c'est-à-dire de disposer les pages par « cahiers ». Cette disposition est particulière à son système en fonction de sa presse, du format, du nombre de pages, du façonnage, du et du pliage.

Les caractéristiques du papier pour vos impressions

Réussir ses supports imprimés implique en grande partie le choix du papier. Les effets ne sont pas les mêmes sur celui qui le reçoit selon que vous imprimez un flyer en 135g ou en 350g.

Mais connaissez-vous les critères du papier liés à sa fabrication ? Ces critères seront différents selon le papetier qui approvisionne votre imprimeur.

Voici quelques points à prendre en compte :

• Le grammage : c’est la densité du papier exprimé en kilogramme par mètre carré. Certains documents comme les flyers de luxe, cartes de visite, cartes de correspondance, cartes postales, chemises à rabats, marque-pages s’impriment toujours sur du papier à fort grammage (250g à 350g) qui garantit qualité, solidité et longévité à votre document. Les grammages plus faibles (90g à 135g) sont parfaits pour l’impression de flyers pour le publipostage, affichettes, brochures,…
• La main du papier désigne en fait sa rigidité. Le grammage de l’imprimé constitue un facteur important dans la valeur de la main obtenue avec un papier donné, mais d’un papetier à l’autre, on retrouvera des mains différentes à grammage égal. Si vous choisissez l’impression sur papier mat, la main sera supérieure à celle d’un papier brillant, pensez-y ! Le Papier couché est un papier recouvert d´une ou deux couches de produits (minéraux et liants) afin d´obtenir une surface lisse. La surface ainsi traitée acquiert une certaine porosité et donc une meilleure sensibilité à l´impression. Le papier couché peut être mat, lisse ou de qualité intermédiaire. Utilisation : catalogues, dépliants, magazines, encyclopédie, édition de luxe ou d'art.
• Transparence et opacité du papier : un papier au travers duquel il est possible de voir les images imprimées au dos est jugé transparent. Pour l’impression de brochures ou de dépliants de qualité, il est préférable de choisir des papiers assez opaques pour éviter de voir le contenu de la page d’après. Sachez que plus le grammage est élevé, plus l’imprimé est opaque !
• Le ton du papier doit être adéquat. Le papier blanc a par exemple de nombreuses variétés de tons différents, cela peut aller du blanc naturel au blanc bleu. L’éclairage que reçoivent certains papiers peut aussi changer l’apparence. Le papier blanc est celui qui reste le plus difficile à choisir. Sachez aussi qu’une impression sur papier couché brillant influe sur la luminosité de votre imprimé
• La résistance au vieillissement correspond à la faculté de résistance au jaunissement et à l’effacement mais aussi à son aptitude à conserver une bonne tenue dans le temps. Elle résulte du type de pâte produit et des ingrédients qu’elle contient. Tous les papiers vieillissent dès que les fibres commencent à se détériorer. Ce processus peut être ralenti en fabriquant un papier au pH neutre et en utilisant du carbonate de calcium comme couche. La longévité du papier dépend aussi des conditions de stockage : température, humidité et lumière.

Pour bien faire votre choix chez votre imprimeur en ligne, il suffit de savoir quels types de papier et de traitements de surface vous propose votre imprimeur.